L’ONU dénonce la détention « arbitraire » de Mohamed Bazoum, président nigérien renversé par un coup d’État militaire en juillet 2023, et son épouse, dans un avis consulté lundi par l’AFP. Ses avocats appellent une nouvelle fois à sa libération.
« Les privations de liberté de Mohamed Bazoum et de Hadiza Bazoum sont arbitraires », a estimé le groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire, dans un avis consulté lundi par l’AFP. L’instance qui dépend du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, ajoute que « la mesure appropriée consisterait à libérer immédiatement M. et Mme Bazoum et à leur accorder le droit d’obtenir réparation ».